Le porno-chic, tendance marketing courue par Gucci au début des années 2000, cristallise l’ambiguïté de la représentation des femmes dans la mode. Au-delà des tabous socioculturels qu’elle semble enfreindre, comment permet-elle la construction sans consensus d’une identité féminine par sa sexualité ? Et à quels risques ?
quand Gucci capitalise le point G : conformisme plutôt que subversion
