Schizo-panaroïde, bipolaire, hyperactive et maniaque, sûrement mégalomane, la mode cumule les pathologies. Industrie borderline par excellence, elle a su cultiver son goût des obsessions pour faire de ses tares le nectar d'où extirper l'imagerie digne de ses démons.
la mode est malade : l’esthétique de la souffrance
