une série de quatre vidéos, entre mots et images, qui conte une idylle adolescente à l'heure où le soleil décline et l'automne approche
ÉTÉ INDIEN #1

une série de quatre vidéos, entre mots et images, qui conte une idylle adolescente à l'heure où le soleil décline et l'automne approche
laisse, laisse, se dit-elle, pousser tes ailes et goûte à ce jus mirobolant, potion empoisonnée qu'une femme a un jour engendré. rêve solitaire et endurci, rêve d'un amour insulaire sous le soleil tapant, d'une vie libre hors des fonctions. laisse, tourner les verres, tourner la vie à la mort car on ne compte nos jours que pour leurs regrets. trop tard.
L’amour est mort entre tes bras Te souviens-tu de sa rencontre Il est mort tu la referas Il s’en revient à ta rencontre Encore un printemps de passé Je songe à ce qu’il eut de tendre Adieu saison qui finissez Vous nous reviendrez aussi tendre Vitam Impendere Amori, Apollinaire Printemps 2018 : celle qui [...]
https://www.youtube.com/watch?v=cO7mooxsrHM&t=6s intimacy c’est une série de vidéos où les images mises en scène veulent dire la beauté des choses simples du bout des doigts : comme un sourire insoupçonné, une main tendue dans de l’eau glacée, comme des étreintes secrètes que personne ne voit, des regards qui ne savent pas mentir, une veste qui traine [...]
face à face avec Amandine, 18 ans pour quoi t’habilles-tu ? Je m'habille pour jouer, sans le prendre au sérieux, en faisant en fonction de mon humeur du moment. Il ne faut pas s'habiller pour se donner une image, mais prendre une distance pour être capable de ne pas se vexer si quelqu'un fait une [...]
Son regard est pareil au regard des statues, Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a L'inflexion des voix chères qui se sont tues. Quelques vers de Paul Verlaine, Mon rêve familier. La suavité de ses mots, les consonances qui résonnent incessamment dans nos têtes : il évoque ici le temps, [...]
face à face avec Marie (gauche) 20 ans, Minh (milieu) 18 ans, Juliette (droite) 19 ans pour quoi t'habilles tu ? marie: Tout simplement parce que j'aime me sapper, j'aime les fringues, c'est un plaisir pour moi. juliette: Ca n'a jamais vraiment été une question pour moi, c'est une convention, il faut s'y plier [...]
vite, tu marches, dépêches toi déjà en retard, ton écran te dit de ne regarder que lui, tes enjambées ancrent ton poids dans le sol, tu sautilles sur place, le froid mord tes doigts, gelés, rougis, le bruit de la ville dehors qui ronronne en toi, te fais oublier tes pensées, tes yeux devant toi [...]